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[ c’est quoi ces récits ? ]

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 › [ remerciements… ]
 › [ … et copyright illusoire © ]
 › [ temporalité des récits ? ]
 › [ signalement des erreurs ]

[ conventions d’écriture ]

[ avertissements ]

Dans ces récits, il n’y a rien d’une idéologie où l’on vous dit avoir tout compris, comme de prétendre apporter la vérité avec une solution à tout, et par là promouvoir quelque auteur que ce soit (les gloires, p’tits égos, doctrines, « phynances », religiosités, dogmes, etc., sont relégués en effet à quelques placards), non ! Ce sont les déversements de discours hétéroclites, expressions de vivants, informations perçues où sont discernés particules et autres choses retenues ou entendues, transcrites avec les moyens du bord, du mieux possible, ce qui émerge, des traces ajoutées à d’autres, des témoignages, des étonnements, des tourments irrésolus souvent, chants d’oiseaux, rumeurs de la forêt, et puis vibrations, déplacements, voyages et peuple innommé ; enfin, il s’agit de tenter de voir les hominidés (humains) de cette planète sous un angle divergent, pas forcément à leur avantage… Voilà de quoi l’on parle ici, il n’y a rien à vendre, on vous laisse tout, c’est donné, faites-en ce que vous voudrez !

Oui, ce sont des récits sauvages, sans attaches de quoi que ce soit, ils sont venus, on les transposa comme l’on put ; on vous les donne à nouveau, dans le langage commun des hommes, faites-en ce que vous voudrez ; rien n’y est à vendre, rien n’y est à acheter, il n’y a aucun droit là-dessus, dans ces sauvagetés à peine récitées, à peine lues, pour que l’on puisse les ignorer… On ne sait pas où cela va nous mener, on ne sait pas si ça vaut le coup, mais qu’importe, c’est venu ! On composa à la mesure des choses perçues, on vous les transmet comme l’on peut, faites-en ce que vous voudrez…

Points de critiques, il n’y a pas à juger, même si au-dedans il y a quelques opiniâtretés, une façon de dire, de vous engueuler aussi, de râler d’un peu de tout ; d’avoir écouté des promeneurs, des savants, des hurluberlus, des vivants de toutes sortes, on vous ressassa ceci, un récit sauvage… Des récits sauvages, pour vaincre l’ennui de persister ici, ce serait l’idée, un peu derrière tout ça ; qu’il y eût au début, une chose indéterminée, suffisamment forte pour vous agiter, de s’en amuser ou de s’en lasser, vous amener à une fin, en disant « arrêtons ça ! » ; ou encore, la termine comme ça cette parole, « eh ! regarde donc d’où tu viens, ce que tu vois, joins-le à ton destin de vaurien ! »

[ c’est quoi ces récits ? ]

À propos des récits (au sens large du terme) :

Ce sont des récits temporels (pour l’instant, uniquement stockés dans les mémoires des machines électronisées, de robotes, sur les réseaux webeux pareillement électronisés, de papier ensuite, ou en quelques sonorités), au moment où ils sont crachés ils auront l’aspect que vous lirez ; demain, ce sera un peu différent, avec des ajouts, des redites, des regrets supprimés ajoutés modifiés (une logique floue, non maitrisée, à cause d’explorations pleines d’inconnus où l’on cherche on ne sait quoi, voilà le tracas)…

Un enchaînement sans fin ni d’une quelconque littérature, vraiment, ni d’un autre genre, assurément, il vaudrait mieux s’y faire à ces récits débonnaires, impossibles à véritablement les terminer, ceux-là, ou alors il faudrait tuer le temps, arrêter absolument la source, la tarir. À en dévier le courant, vous ne ferez qu’aggraver le ruissellement, il coulerait ailleurs, peu importe d’où cela sortira, il n’émerge d’aucun ego, tout au plus la vanité d’un trop-plein, le fruit de lavements au creux d’une cervelle salit par des traversements, comme l’égout effectue des transvasements, ce n’est qu’une affaire de goût en la matière ; aussi, vous devrez faire l’effort d’une lecture de récits sans noms, où éventuellement une entité inconnue vous poserait cette question malvenue, « tu lis des ratures ? », et vous lui répondriez surpris : « non, je tente de déchiffrer une écriture ? », imagineriez-vous, à cet instant, être traversé par cette autre interrogation, « encore une histoire de vivants, ajoutée aux archives, dans le surplus ? » Alors, on dirait qu’à chaque récit cela lui a déplu, c’est peut-être pour ça qu’elle continue ? Quoi ? La vie ! l’entité incongrue, la chose, le truc, le machin, enfin ce qui nous anime quoi ! Des pantins nous serions ? C’est sans doute pour ça, cette envie irrépressible d’une foi, cet ajout d’une piété, le pourquoi du comment d’une croix, un fardeau pour que l’on croie, un leurre très adroit… il nous masquerait ce qui se cache derrière tout ça… d’autres récits au-delà d’une voix ? Imperceptible, ce remuement garde en son sein une mémoire essentielle, et qu’elle vous construit, vous l’avait-on déjà dit ? On y revient toujours à ce gène qui vous instruit, comme une boucle récurrente, il emmagasine peu à peu toutes les histoires d’un même mouvement, celui du vivant évidemment ; cette particularité nous relie tous à ces stocks, des mémoires en action obligeant la moindre de vos cellules à se répliquer selon un ordre établi, et affiné au fil des ans, de jour en jour, une accumulation dont votre existence sera le témoin et l’acteur a un moment, localement ; puis, la trace que vous laisserez alimentera, peu importe comment, peu importe quoi, les futures propagations de notre essor, à nous, les terriens d’hier à demains, et bien plus encore… Cette mémoire (à travers le processus qui la lit) tente inlassablement de relier ces souvenirs préalables, dans les traces laissées, comme un fait exprès… ce cheminement semble intarissable ?

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[ mentions légales ]

[ remerciements… ]

Les auteurs de ces récits sont, la mer, la pluie, le vent, les arbres, les oiseaux, le soleil d’en haut, bacilles, microbes, bactéries, virus, archées et autres invisibles, chats, souris, punaises, cloportes, fourmis, moisissures ont participé… sonorités, bruissement de l’eau, rayons cosmiques, couleurs offertes à la vue, une multitude de particules entrechoquées laissent une musique, des pensées particulaires, un atome crochu ou deux, les senteurs des forêts, plantes, fruits, légumes, poissons, les nourritures du corps et de l’esprit (pour le soutien du copiste), la mémoire de tourments en forme d’île… régurgiter jour et nuit, ce monde-là, sans lui, rien ne serait venu…

Tout cela fut accordé ou utilisé dans un partage élégant non exclusif, sans demandes de droits quelconques de leur part, un cadeau de ces vivants ou éléments ayant collaboré à ce racontement, qu’ils en soient remerciés !

Au robote aussi, la machine, un grand merci, lui qui organisa et permit tout ceci, corrigea erreurs et coquilles, en typographe exemplaire…

Pour le reste, divers papiers, idées, souvenirs, bribes de phrases et écrits de divers hominidés, voix proches ou distantes sur les ondes radio ou les réseaux webeux, recopiés parfois (est-ce volé ?) ou transposés, sont ajoutés aux récits ; remercions encore quelques aides de temps à autre de bonnes âmes… Que les auteurs précités en premier disent merci à tous ces hominidéens n’est pas si sûr, tant ces derniers sont procéduriers et leurs accaparements délétères, il leur sera demandé à travers ces récits à lire, quelques efforts de symbiose, qu’ils enlèvent ce mépris envers ceux qui les font vivre en dehors d’eux comme en leurs dedans, cet immense préalable de vivants, de matières, les véritables auteurs d’eux…

Enfin, tâcherons de l’histoire, un scribe temporel, qui dans son ennui transcrivit du mieux qu’il pouvait tous ces chants, ces traces, laissées par la vie, le monde, la terre et le reste…

Malgré tout, en retour, ces récits abondants sont offerts à tous autant qu’aux autres, les oubliés, les auteurs essentiels que l’on cita au début…

[ … et copyright illusoire © ]

Alors, oui, pour toutes ces raisons, ce droit d’auteur © (copyright) que l’hominien se donne apparaît ici illusoire et sans intérêt !

« Tout est gratuit dans l’univers ! Mais de ça, les hommes beaucoup ne l’ont pas compris. Si vous réalisez une photographie d’un instant de l’oiseau quand il s’élève, que va-t-il demander, l’oiseau, en échange de cette image ? Le droit, vous le prenez sans partage, et vous lui avez cependant volé un moment de sa vie, son envol aussi était gratuit, un cadeau de lui ; là encore, la plupart n’ont pas compris (ou ne veulent pas comprendre), ils monnayent le cliché entre eux, ils désirent y apposer leur nom avec des droits d’auteur prétentieux, dans un ego démesuré ! L’oiseau peut bien crever après… » (extrait du livre des préalables, 1er mars 2020)

Et puis cette manie de tout référencer, étiqueter, accaparer, de peur d’un oubli, de peur d’une entourloupe, devenue une exaspération administrative, comme de la « phynance », l’ego contrarié du despote paranoïaque du coin, le contrôle à tout bout de champ, cela atteint des sommets ; « point trop n’en faut » rappelle le dicton populaire, la sagesse serait de trouver un bon équilibre à toutes choses, alors tentons la nuance et la variation dans une prose bienveillante…

(en détail, lire : cinquièmement, « les ajoutements », de l’auteur et du scribe, l’auteur réel de ces lignes)

[ temporalité des récits ? ]

Combien de temps ce site subsistera-t-il sur les réseaux webeux ?

Cette permanence technologique ne durera pas, elle est par conséquent éphémère, le temps d’un abonnement à un hébergement payant de quelques ans, au mieux le temps des réseaux, assurément. Donc, une copie de ce racontement sera, est, a été installée sur la chose webeuse (voir archives générales) pour qu’on puisse la lire ou la récupérer si le désir d’en garder une copie vous venait à l’esprit, cela s’avère possible, sera possible, un certain temps ; nous ne saurons maintenir la pérennité de ce récit indéfiniment (cela nécessite une consommation d’énergie, comme pour tous les réseaux webeux, et ce besoin ne cesse d’augmenter). D’autres devront assurer la préservation de cette trace, si c’est leur souhait (reste à trouver une mémorisation moins énergivore). À moins que l’idée d’un mandala, un éphémère maintien, se fasse sentir, alors tout ou presque s’évaporera dans les limbes d’une mémoire disparue – c’est un point de vue…

[ L’hébergement de ce site se terminera en octobre 2024, et le nom de domaine, le 18 décembre de la même année. S’il n’est pas renouvelé d’ici là, le site sera détruit courant novembre 2024, ou au plus tard le 18 janvier 2025, à moins qu’une bonne âme choisisse de le maintenir un peu plus longtemps, dans cette éventualité laissons le hasard décider… ]

[ signalement des erreurs ]

Au sein des récits, et particulièrement pendant la description des sonorités (récits du « deuxièmement », à travers les sonagrammes), quand cela fut possible, et après recherche ou étude sonore, on ajouta le nom des auteurs des chants, les oiseaux, les insectes, etc. ; ce nom, personnel (ex. Lulu), générique (ex. Mésange bleue) ou scientifique (Cyanistes caeruleus) est celui que nous les humains donnons à chaque être vivant autour de nous pour les distinguer et ne pas les confondre (par contre, nous ne savons pas comment les autres vivants nous désignent ?).

Toutes les sonorités ne sont pas identifiées, et dans celles qui le sont, il est fort probable que des erreurs soient présentes, des imprécisions persistent, que l’on se trompe ou confonde ? Cela vaut aussi pour toutes les affirmations (au moment de la réalisation des récits) d’un savoir scientifique, ou d’une quelconque autre discipline, que des connaissances nouvelles rendront obsolètes.

Dans tous les cas, si vous avez décelé des erreurs, des inexactitudes sur des faits ou choses avérés, il est toujours possible d’ajouter des correctifs ; il suffit de les signaler sur le site webeux « ipanadrega.net » en utilisant le formulaire de contact prévu à cet effet. Ils seront inclus (après vérification) dans les prochaines mises à jour régulières des éditions webeuses, papiers et pdf des récits.

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[ conventions d’écritures ]

Pourquoi tous les titres, comme ceux des chapitres, sont-ils toujours laissés en minuscule ? Pourquoi ne sont jamais nommés les noms propres et termes rattachés aux hommes ?

« L’on met des majuscules là où c’est nécessaire, pour affirmer là où c’est important ; la majuscule se place là où l’on parle des choses (en début de phase dans le récit commun, c’est habituel, l’usage est gardé ici), le reste peut rester en minuscule. Considérons cette tendance : les titres (des chapitres) restent en minuscules, ils sont dans la narration, leur rôle n’obéit qu’à un découpage, ils entrecoupent les phrases, le point finit une phrase, la majuscule en ouvre une autre, en dehors, on garde la minuscule (et l’humeur narrative désire cette rupture des habitudes)… Autre aspect important : la minuscule minimise volontairement la priorité des choses habituellement citée en majuscule ; dans ces récits, ce n’est pas les hommes qui sont mis en avant, c’est le vivant ! Sauf terme générique (arbres, oiseau…), pour tous les êtres autres qu’humains, quand ils sont nommés, ils reçoivent une majuscule, sauf oubli ou humeur du moment (un Pinson dans les arbres, le Chêne, le Ver de terre, le Thym…). Pour les noms scientifiques, le genre gardera toujours une lettre majuscule et la variété en minuscule (Thymus vulgaris), comme c’est d’usage ; dans le discours s’il s’agit de l’homme, des faits de l’homme, ils m’apparaissent en arrière-plan, ils deviennent secondaires, ils restent donc en minuscule (et jamais nommés, seulement décrits)… C’est un fait exprès, aussi, pour agacer une lecture dogmatique (la norme), perturber l’ego et les usages, afin que cela interpelle ! »

—> Extrait de : 5. « ajoutements », autour et sur le récit, pourquoi les titres sont en minuscule ? (parole en marchant – 6 août 2017 à 18h54)
—> Compléments : à propos de « ne pas nommer », voir le préambule du 29 août 2018 et plus largement dans les ajoutements du « cinquièmement », autour et sur le récit

Dans tous les racontements, certaines expressions utilisées exprimant la provenance et le contexte des récits peuvent dérouter, elles sont expliquées dans le « lexique des termes spécifiques à la narration » de la Chronologie.

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